And I mean flushed in the non-bathroom sort of way Weighing my pockets with stones of longing |
Here is a poem I like: CHANSON I O Ciel dor� et Soleil votre enfant, Je vous supplie: je ne veux plus d'amants. Votre beaut� m'apportait les pens�es Pleines d'Amour; maintes fois m'a tromp�e. Toujours �blouie par vos brumeux nuages, D�j� voil� votre doux esclavage, La pluie tombait, et riait mon visage; Je n'ai pas vu votre pleurant pr�sage. Tra�tre Chaleur qui m'embrase et m'embrasse Comme vos feux et vos flammes me lassent! Vous me br�lez et r�duisez en cendres Mes sentiments qu'avez forg�s si tendres. Verte For�t, O Pr� resplendissant, J'�tais berc�e dans vos branches d'avant, Mais, impr�vu, dans sa douce romance L'herbe cachait votre vraie inconstance. Votre ruisseau qui ma soif soulageait A emport� de mes l�vres baisers Sucr�s, sacr�s, et promesses de foi, Laissant la sourde amertume pour moi. Voyez ainsi comme mes joues bl�mies Ressemblent � toutes vos fleurs fl�tries S�ches, drain�es de leurs couleurs mouill�es Perdues en pleurs et sanglots �touff�s. Belle Nature, arr�tez ce supplice! Tous ces soupirs et ces larmes m'enfouissent. Je m'affaiblis; si, mon c�ur est vaincu. Je ne peux plus; en aimant, je me tue.
Allison, the poetess of the Boyer line at 3:19 p.m. |